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Anne

Insuline versus glycémie !

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Fiouuu !!  Jason Fung M.D. Il me fait réfléchir !

Selon ses dires basés sur des recherches, ses connaissances etc. le glucose dans le sang ne compte que pour 23 % de la réponse insulinique, 10 % graisses et protéines. Alors imaginez tout ce qui fait grimper notre insuline (prise de poids) sans que notre glycémie l'indique.

L'effet incrétine est sacrément impressionnant.

Tout ce qu'on mange (incluant faux sucre et stevia) déclenchent la production d'insuline a petite, moyenne ou grande échelle même si la glycémie ne bouge pas. L'index glycémique ne vaut rien sans l'index insulinique.  Ex: produits laitiers index G 15 à 30 %. index Ins. 90 à 98 %.  Alors si on a une résistance métabolique (résistance insuline), il me semble qu'il vaut mieux tenir compte des 2 sérieusement. 

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Le 31/03/2019 at 03:07, Anne a dit :

Fiouuu !!  Jason Fung M.D. Il me fait réfléchir !

Selon ses dires basés sur des recherches, ses connaissances etc. le glucose dans le sang ne compte que pour 23 % de la réponse insulinique, 10 % graisses et protéines. Alors imaginez tout ce qui fait grimper notre insuline (prise de poids) sans que notre glycémie l'indique.

L'effet incrétine est sacrément impressionnant.

Tout ce qu'on mange (incluant faux sucre et stevia) déclenchent la production d'insuline a petite, moyenne ou grande échelle même si la glycémie ne bouge pas. L'index glycémique ne vaut rien sans l'index insulinique.  Ex: produits laitiers index G 15 à 30 %. index Ins. 90 à 98 %.  Alors si on a une résistance métabolique (résistance insuline), il me semble qu'il vaut mieux tenir compte des 2 sérieusement. 

absolument... et c'est pour cela queje suis perplexe sur les bornes de mesures de G a jeun

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Il y a 13 heures, Anne a dit :

Ahhh et il suggère de ne pas prendre de collation afin d'avoir des pauses d'insuline. IF et jeun 24-36 h (ou plus) aiderait a améliorer la résistance a l'insuline. 

sauf sauf sauf.. si on a déjà l'insuline basse alors jeûner pas bon fait shooter la glycémie...

en gros on peut avoir de la résistance à l'insuline avec Glycémie haute ou basse...  

 

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il y a une heure, Nina a dit :

sauf sauf sauf.. si on a déjà l'insuline basse alors jeûner pas bon fait shooter la glycémie...

en gros on peut avoir de la résistance à l'insuline avec Glycémie haute ou basse...  

 

Tu as bien raison. La mienne aurait plutôt une tendance haute. Mes cétones qui chutent facilement le démontre. 

Si le jeun est prolongé, 36-48 hr... elle se stabilise ? Ca m'est arrivé lors d'un jeun. 48 hr avant qu'elle se calme. 

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Glycémie ce soir avant le sport  4.5 mmol/l après 1.50 de sport et 40 minutes de marche rapide  4.7mmol/l  j'ai plus mangé (pas encore le repas du soir) et plus de gras..mangé midi à 13:15.

Cette glycémie du matin!  Un effet d'aube très marqué..

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Hmm.. 6.2 ce matin quand même!

Je soupçonne de plus en plus que les choses ne sont pas si simples.. Souffrirai-je de Adaptative Glucose refusal? ainsi que @Sofy et d'autres??

Pourquoi ma glycémie est haute (lien)

Extrait: Adaptive Glucose Refusal

When someone is following a ketogenic lifestyle and is in a fasted state, it is typical that blood sugar levels will be relatively low and stable. However, in some individuals it is possible to have temporary elevations in fasting blood sugar. More often than not, this occurs in the morning when the individual is in a fasted state.

When you are sleeping your body is very active cleaning out the brain and rebalancing hormones. Sometime in the morning between 4-8AM, the body releases cortisol, epinephrine, growth hormone, and glucagon. These hormones all have the effect of increasing blood sugar to wake you up. These hormones may also be released in response to a significant drop in blood sugar during sleep (1).

The difference in those who are following a ketogenic lifestyle is that if they are well keto-adapted, then their cells may refuse to burn that sugar for energy. This will naturally make fasting blood sugar levels seem elevated.

Instead of sugar not being able to get into the cells due to insulin resistance, the cells are simply refusing to burn sugar because they would prefer the ketones already being used. In this case, elevated fasting blood sugar is less of a concern.

Cela contredit la théorie de la glycémie du matin stable.. chez moi elle ne l'est pas, c'est clair.. mais tout le reste du jour super stable... 

Mais comme je ne mincis pas, je pense ne pas être adaptée..

Serait-ce que j'ai raté le coche (j'ai acheté un gluco-dual tard..) et parce que j'ai passé ma vie à peu manger, en gros à jeûner.. ben je suis assez stable insulino-parlant-- Cela irait à l'encontre de ce que je croyais-- cortisol et tout y quanto...

Mais j'ai lu ailleurs, article scientifique de recherche sur l'insuline et les mitochondries, que pour aussi mincir il faut que les mitochondries soient en déséquilibre, en fait qu'elles ne soient pas efficaces, en gros qu'elle gaspillent de la chaleur ...

Ce qui n'est clairement pas mon cas, j'ai le corps frais comparativement à mes amis/es- qui ont le corps chaud et qui restent minces..

Si les mitochondries sont efficaces, disait l'article, elles ne brûlent pas plus de chaleur qu'on en a besoin et on ne tape pas dans son potentiel gras 😞 bad niouze

Cette cétologie : c'est vraiment ultra pas clair..

Plein de gens aussi crédibles les uns que les autres disent des choses qui ne collent pas ensemble...

L'autre hypothèse: c'est que j'ai un méga problème d'insuline.. et/ou de stress ou va savoir.. et alors j'ai intérêt à pas jeûner sinon bonjour les dégâts.

En tous les cas: matin en général glycémie haute et cétones basses, le reste du temps glycémie toujours entre 4.3-4.6 quoique je fasse... mange ou mange pas  le jour c'est hyper stable même si je fais du sport...pff

 

@bibou  @olivier

 

 

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Un beau hasard !

Après avoir lu le bouquin sur l'obésité de Jason Fung, j'ai commencé:  Perdre du poids en mangeant gras Tome 2, bien plus pour voir les recettes qui ont charmé ma fille du Tome 1.

J'étais certaine de lire encore et encore les infos pour débutants en Céto. Hey bin ! Jason Fung y est cité et les infos contenues ressemblent bcp à son livre en simplifié. Des données et chiffres supplémentaires entre autre sur la résistance à l'insuline   A avoir ds sa collection Céto. 

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Encore un article sur le phénomène d'économie de glucose (glucose sparring) ou aussi résistance à l'insuline physiologique (au contraire de pathologique-diabète) qui se produit chez les gens qui sont depuis longtemps sous céto. Glycémie à jeun haute, tolérance en apparence faible pour les glucides, et cétones basses..

Article par un  médecin spécialiste de l'obésité...Lien pour lecture

 

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il y a 34 minutes, Nina a dit :

ecnore un témoignage d'un australien diabétiqu de type 1 qui après avoir fait 4 mois de céto est devenu résistant à l'insuline très fort... et a arrêté

https://www.news.com.au/lifestyle/health/diet/women-complain-of-bad-smell-and-its-all-because-of-the-keto-diet/news-story/4119020a53e42431c3964dbfe439c13f

 

J'arrive sur des témoignages d'odeurs corporels 😂 féminines. 

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Héhé, on devine ! Mais l'image était plutôt amusante. 

En début de Cétose, j'ai les Cétones (bandelettes urinaires très foncées) qui explosent vers l'extérieur. Tout mon corps empeste, je connais. 🤨

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Il écrit qu'en suivant une dite cétogène stricte il est devenu hyper résistant à l'insuline et que même en jeûnant son foie envoyait de larges quantités de sucre dans son sang.. ce qui faisait que son diabète de type 1 devenait difficile à gérer... Diabète de type 1 ou non.. la diète a crée une résistance à l'insuline... ce qui est pas indiqué dans son cas... et pourtant je pense qu'il était adapté. Il était hyper efficace à brûler du gras mais pas du tout à supporter les glucides.. Il a donc rajouté des glucides et a réussi non seulement à renverser la résistance mais à diminuer son insuline pour D1.

drews.daily.dose

🚫Why I Quit The Ketogenic Diet🚫
This is me after 2 months on a Ketogenic Diet. I was lean, fit, had great focus and concentration, could go long hours without eating, my blood sugar levels were very stable, and I had low insulin requirements. At this point I was a huge proponent of this way of eating. I was sold.
-
Fast forward another 2 months, and I became the most INSULIN RESISTANT I have ever been! I lost all metabolic flexibility. Sure, I was a very efficient fat-burner but it was at the expense of the ability to tolerate glucose. Not only could I no longer eat the smallest amount of carbs without a massive blood sugar spike, but I was resistant to the insulin that was meant to bring my levels back into the normal range. Here’s the worst part, even if I didn’t eat anything at all and my liver put glucose into my bloodstream, I couldn’t fix my high blood sugar levels because I was resistant to the insulin I was injecting. It felt like I was on my way to developing type 2 diabetes (type 1 is more than enough thank you). It was a scary place to be.
-
After coming to the realization that the large amounts of saturated animal fat I was eating (eggs, chicken, meat, full-fat dairy...and non-animal fat from coconut oil) was making me insulin resistant, I decided to embark on a journey to the other end of the spectrum to see if removing those foods and eating more carb-rich plant foods would reverse the metabolic damage I had caused. So...I immediately embarked on a strictly whole-food plant-based journey. Within 48 hours my insulin sensitivity returned to normal. Within 1 week I was eating the most carbs I’ve had since being diabetic, with LESS INSULIN. The results have been astonishing. I cannot wait to see where this journey takes me over the long-term.

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Reflexion : Que ce soit le soupçon de stevia, graine tournesol, macadam noix de coco, mûre etc.... l'effet risque d'être le même sur l'insuline il me semble..On ne peux pas rayer tout ce qui a un goût sucré ! 🤔 

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Typiquement, la viande a un index insulinique élevé. Les produits très riches en protéines, les yaourts, les viennoiseries riches en gras… déclenchent ainsi des fortes décharges d’insuline, disproportionnées par rapport à leur index glyclémique.

Un profil insulinique propre à chacun

La réponse insulinique est propre à chaque individu et chaque métabolisme. La nutritionniste Brigitte Fichaux a observé chez certains de ses patients des relations entre diverses manifestations d’intolérance alimentaire (maux de tête, eczéma, colites, diarrhées…) et l’élévation anormale du taux d’insuline (question relatée dans son ouvrage La cuisine minceur durable chez Terre vivante).

En d’autres termes, certains aliments en apparence anodins sur l’échelle glycémique (pain complet de blé ou de seigle, yaourts, lait UHT, viande rouge…) provoquent d’importantes réponses insuliniques, donc des phases d’hypoglycémie chronique, et divers troubles de santé. La nutritionniste note d’importantes améliorations chez les patients éliminant les produits à forte réponse insulinique chez  eux.

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Je crois vraiment que c'est ce que je dois surveiller. II = Index Insulinique. Probablement que cela expliquerait bien des problèmes que j'ai rencontré. Il y a malheureusement des infos contradictoires des index (II). 

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Les aliments servent, ne l’oublions pas, à maintenir un équilibre hormonal propice pour un fonctionnement optimal de notre corps avec, en ligne de mire, la meilleure adéquation possible dans la régulation de l’insuline, du glucagon et donc des eicosanoïdes. Notre corps n’ayant pas la capacité de stocker les protéines non utilisées, un excès d’apport de protéines dans l’alimentation, comme cela s’observe chez certains ou à l’occasion des diètes hyperprotéinées, a des effets néfastes sur la santé : soit par l’intermédiaire du foie qui élimine les acides aminés excédentaires sous forme d’ammoniaque, avec des risques d’élimination accrue de calcium dans les urines, soit par le biais d’une élimination accrue d’acide urique. De plus, les protéines non absorbées fermentent dans le colon sous l’action des bactéries qui s’y trouvent et sont transformées en nitrosamine cancérigène. À l’opposé, un déficit d’apport en protéines entraîne un affaiblissement du système immunitaire, une perte de masse musculaire, une perte de cheveux, etc., et une surproduction d’eicosanoïdes. Il est donc
tout aussi malsain de manger trop de protéines que pas assez. Dans ce cas, quelle est la bonne quantité ? La plupart des nutritionnistes affirment que les besoins en protéines des
hommes et des femmes sont uniformes, soit quotidiennement environ 56 grammes pour les hommes et 45 grammes pour les femmes. En réalité, ces besoins varient d’une personne à l’autre en fonction de sa morphologie. Par ailleurs, il est important de savoir quelle est la quantité de protéines biodisponibles dans la ration alimentaire, c’est-à-dire réellement absorbées par le corps et utilisables. Or la quantité d’acides aminés absorbée par le sang
est déterminée par la digestibilité de la protéine : si les enzymes digestifs ne peuvent accéder aux protéines, ces dernières ne sont pas digérées et traversent le tube digestif sans être absorbées ni utilisées, et cela dépend du contenu en fibres de l’aliment protidique. En d’autres termes, plus le contenu en fibres de la source protéique est élevé, moins cette dernière est digeste et moins les acides aminés sont absorbés par l’organisme. Par exemple, les protéines végétales sont enfermées dans un réseau de fibres denses et sont donc peu digestibles, tandis que les protéines animales n’ont pas de fibres et sont facilement digestibles. Par ailleurs, les besoins protéiques dépendent de la masse maigre (le poids du corps sans la graisse) et sont influencés par le degré d’activité
musculaire quotidienne. Seules les mesures de composition corporelle telle que nous les pratiquons par densitométrie graisseuse (technologie DEXA)
permettent de connaître précisément la masse maigre et ainsi de déterminer avec exactitude le besoin quotidien en protéines, que l’on corrige en fonction du mode de vie (très sédentaire, sédentaire avec un peu de marche chaque jour, activité modérée au moins 30 minutes par jour, activité normale au moins 1 heure par jour, activité intense au moins 2 heures par jour,
(entraînement intensif). Le besoin quotidien de protéines a été déterminé par le docteur Barry
Sears72 et par d’autres équipes américaines : il est de 0,5 gramme pour 454 grammes de masse maigre. Le juste apport de protéines influence directement et positivement le rapport insuline/glucagon et, comme pour
les autres macronutriments, doit être réparti équitablement sur les différents repas de la journée. La répartition des besoins quotidiens en protéines doit être conforme à une autre règle : ne jamais laisser passer plus de 5 heures sans prendre un repas ou une collation, car les effets hormonaux d’un repas ne durent que 4 à 6 heures.
Les principales sources de protéines viennent des viandes, y compris des volailles, des poissons et du fromage qui apportent entre 25 et 30 grammes
pour 100 grammes, des légumes, légumineuses, céréales complètes et fruits secs oléagineux qui apportent 3,5 à 12 grammes de protéines pour 100 grammes, et des œufs dont 1 blanc apporte 6 grammes. Pour les personnes
strictement végétariennes, les produits dérivés du soja comme le tofu, le tempeh, et des algues comme la spiruline, permettent d’optimiser la ration
quotidienne d’acides aminés. Chaque repas ou collation engage les 4 à 6 heures qui suivent pour un bon ou un mauvais effet sur le fonctionnement des systèmes métaboliques, en particulier l’équilibre entre sécrétion d’insuline et sécrétion de glucagon, et équilibre entre production de bonnes et de
mauvaises eicosanoïdes. Autrement dit chaque repas ou collation doit contenir des macronutriments (sucres, graisses, protéines) de bonne qualité et en bonnes quantités.
L’impact insulinique des aliments
Les aliments à faible impact insulinique
- Toutes les viandes de boucherie : veau, cheval, porc, mouton, bœuf.
- Toutes les volailles : poulet, pintade, canard, dinde,dindonneau, pigeon, lapin.
- Tous les gibiers : lapin de garenne, lièvre, faisan, perdrix, canard sauvage, chevreuil, sanglier.
- Les abats : cœur, foie, langue, rognons, tripes.
- Les charcuteries : jambon, saucisson sec, andouille, cervelas,
jambonneau, bacon, rillettes de canard ou d’oie… (attention cependant aux charcuteries industrielles, souvent très riches en graisses saturées et enrichies
en sucres).
- Tous les poissons
- Tous les coquillages.
- Les crustacés : crabes, crevettes, langoustines, langouste, homard.
- Les légumes verts (frais, en conserves ou surgelés) : asperges, aubergines, blettes, céleris-branches, choux, choux-fleurs, choux de bruxelles, brocolis,
cœurs de palmiers, courges, courgettes, endives, épinards, fenouil, haricots verts, oseille, poireaux, soja.
- Toutes les crudités (concombres, tomates, radis, poivrons, etc.) et
salades (assaisonnement au citron, ou vinaigrette avec huile de colza ou huile d’olive + huile de noix, et vinaigre).
- Les avocats, les olives.
- Les amandes, les noix, les noisettes et les pistaches.
- Tous les fromages (privilégier les fromages de chèvres ou de brebis,
riches en oméga-3).
- Les œufs : uniquement les œufs multi-enrichis oméga-3.
- Tous les yaourts nature dont la teneur en glucides est inférieure à
10g/100g (nécessité de vérifier la composition sur l’emballage).
- Les fromages blancs.
- Le lait demi-écrémé ou écrémé et la crème fraîche (si elle est consommée en quantité limitée).
- Le beurre frais (éviter les cuissons au beurre, car il se dénature à la cuisson).
La teneur en hydrate de carbone de ces aliments est faible ou nulle, et ils sont sans action (ou très peu) sur la sécrétion d’insuline.
Les Fruits
Mais attention, les fruits n’ont pas tous le même impact insulinique :
- les fruits rouges (cerises, fraises, framboises, cassis, groseilles, etc.)
ont un impact faible et peuvent être consommés librement ;
- les poires, les pêches, les pommes, les oranges, les abricots, les nectarines, les mandarines, les kiwis, les papayes, les figues fraîches, les pamplemousses,
les prunes, etc. ont un index moyen et doivent être consommés avec une certaine modération (l’équivalent de 2 pommes ou 2 poires par jour) ;
- enfin, certains fruits ont un impact insulinique plus élevé (raisin, bananes,
ananas, etc.) Ils peuvent être consommés, mais en petite quantité, et plutôt
entre les repas.
- Pastèque et melon ont un impact moyen : ils peuvent être consommés librement si le repas est modéré en sucres (mieux vaut éviter cependant dans un même repas pastèque et fruit, ou melon et fruit).

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