La sensibilité à l'insuline et l'homéostasie du glucose peuvent être influencées par la charge d'acide métabolique.

[Keto Jim]

(Traduction)

Des résultats épidémiologiques récents suggèrent que des niveaux élevés de charge en acide alimentaire peuvent affecter la sensibilité à l'insuline et le métabolisme du glucose. La consommation de régimes à haute teneur en protéines entraîne une surproduction d'acides métaboliques qui a été associée au développement de troubles métaboliques chroniques.

Il a été démontré que l'acidose métabolique légère altère l'action de l'insuline périphérique et plusieurs résultats épidémiologiques suggèrent que les marqueurs de charge en acide métabolique sont associés à une résistance à l'insuline et à une altération du contrôle glycémique par l'interférence des voies de signalisation et de translocation de l'insuline intracellulaire.

De plus, une incidence plus élevée de diabète, de résistance à l'insuline ou d'altération du contrôle glycémique a été observée chez des sujets présentant des marqueurs de charge métabolique élevée en acide métabolique.

Par conséquent, la réduction de la charge en acide alimentaire peut être pertinente pour améliorer l'homéostasie du glucose et la prévention du développement du diabète de type 2 à long terme.

Cependant, les limites liées à l'estimation de la charge acide du patient, aux déterminants nutritionnels et à l'état métabolique présentent des lacunes considérables dans les résultats disponibles, et le manque de données solides sur la physiopathologie de base contribue à remettre en question la validité des résultats.

De plus, les preuves issues des études interventionnelles sont très limitées et les essais réalisés ne rapportent aucun résultat bénéfique à la suite d'une supplémentation en alcali

La littérature disponible suggère qu'un mauvais contrôle de la charge acide peut contribuer à l'altération de la sensibilité à l'insuline et à l'homéostasie du glucose, mais il n'est pas suffisamment favorable pour élucider complètement la question et des études supplémentaires bien conçues sont clairement nécessaires.

 

Source

>> Conclusion : bien que rien ne soit sûr, bien penser à manger une bonne portion de légumes verts avec sa viande